Peur(s)
du noir :
Réalisateurs : Blutch
Charles Burns
Marie Cailloux
Pierre Di Sciullo
Lorenzo Mattotti
Richard McGuire
Date de
sortie : 2007
Résumé :
Peur(s) du
noir est un film qui comporte plusieurs histoires qui a pour thème l’horreur.
Le résumé de la première est l’histoire d’un jeune garçon qui trouve un insecte
dans la forêt et qui l’emporte avec lui jusque dans sa chambre, mais l’égard
durant la nuit. Quelques années plus tard, Il emmène une fille chez lui et elle
se fait mordre. Après plusieurs semaines la fille change de caractère et il
découvre que la morsure était un endroit où les bébés insectes se réfugiaient
avant d’éclorent. Alors le jeune garçon devenu adulte était prisonnier de
l’insecte qui possédait la fille et il est couvert de morsure pour que la maman
insecte puisse avoir des petits.
Critique :
J’ai
particulièrement aimé le film peur(s) du
noir, car le fait d’avoir plusieurs petits récits qui fait le film en tant
que tel nous mets en suspense durant tout le long du film. Les histoires
n’étaient pas raccorder l’un après l’autre alors au début c’était difficile de
suivre le courant de ce qui se passait, car on ne connaissait pas les
personnages et il n’y avait pas continuité aux histoires. Il y avait le début
de la première histoire après on sautait à la deuxième et on revenait à la
première. Pour cette partie, je n’ai pas particulièrement apprécié, mais
lorsqu’on comprend comment le film est fait, l’intrigue de savoir comment les
cinq histoires se termine est intolérable.
American
Splendor :
Date de sortie : 2003
Résumé :
American Splendor est un
film dans un film. En premier lieu, c’est un documentaire sur l’original Hervey
Peker et pour raconter son histoire, il engage des acteurs pour jouer les
personnages dans sa vie. Son cheminement va comme suit : Harvey est un
homme qui travaille dans un bureau ayant une passion pour la littérature. Il
commence donc à écrire une B.D sur des tanches de sa vie. Étonnement, le
recueil fait succès et publie plusieurs volumes. Grâce à son talent d’écrivain,
il rencontre une femme et la marie une semaine plus tard. Mais soudain, le
docteur lui annonce qu’il a le cancer. Sa femme lui propose d’en faire une B.D,
mais celui-ci refuse, donc, sa femme lui en ait un avec l’aide de l’homme qui
illustre les B.D d’Harvey. Après avoir fini la B.D, Harvey est guérit et lui et
sa femme adopte la fille de l’illustrateur.
Critique :
American Splendor est une
biographie tout en étant un film sur Harvey Peker que j’ai beaucoup apprécié.
La façon dont ils ont incorporé le vrai Harvey Peker et son entourage dans le
film, le parallèle entre les deux mondes a été très bien réalisée. L’histoire
m’a beaucoup plus aussi, au lieu d’être un film dramatique et informatif sur la
vie d’Harvey et sur sa célébrité pour ses B.D, c’est un film comique tout en
nous informant amusement sur sa vie et son cheminement. J’ai aussi beaucoup
apprécié le fait qu’il y aille des bulles avec des onomatopées lorsqu’un bruit
survenait, cela donnait l’impression que nous lisions dans la bande dessiné
qu’il avait écrite et que nous en faisions partit.
Persepolis :
Date de sortie : 2007
Résumé :
Persepolis est l’histoire
d’une jeune fille nommé Marjane qui habite en Iran et qui miraculeusement,
survit à la guerre. Lors de son adolescence, elle se rebelle contre les
autorités en écoutant de la musique punk et en s’habillant autrement en ne
mettant pas son voile. Peu de temps après, ses parents croient qu’elle n’a pas
sa place en Iran alors il l’envoie en Europe pour commencer sa vie d’adulte. À
Vienne, elle passa d’un appartement à l’autre et un jour tomba amoureuse. Elle
se fait tromper par son copain et se retrouve dans la rue. Après deux mois,
elle retourne chez elle et essaye de retrouver sa vie d’avant en se mariant,
mais après quelque temps elle divorce. Pour se changer les idées, elle va en
vacance avec sa grand-mère et lors de son retour elle repart pour l’Europe
refaire sa vie entière.
Critique :
Persepolis est un film qui
m’a beaucoup plus, car ça nous permet d’en apprendre davantage sur la vie
politique en Iran, comment les guerres se sont déroulées et les conséquences de
celles-ci. Nous avons aussi une meilleure vision sur la pensée des habitants
par rapport à cette situation. Même si l’histoire en générale est supposée être
dramatique, certains personnages nous mets un sourire aux lèvres. D’un point de
vue cinématographique, j’ai apprécié la touche de couleur lorsque Marjane
quittait le pays d’Iran, car là-bas tout est en noir et blanc, mais lorsqu’elle
quitte l’Iran pour aller en Europe, l’image n’est soudainement plus en noir et
blanc, mais en couleur pour signifier la liberté et l’expression.
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