Tuesday, February 18, 2014

                                                       LES LUMIÈRES DE LA VILLE




Synopsis :

Le film Les lumières de la ville est un film qui traite sur un vagabond nommé Charlos. Il ère dans les rues quand il aperçoit un gente dame qui vend des fleurs. Il lui en achète une et il se rend compte qu’elle est aveugle. Il essaie donc de la côtoyer chaque jour pour pouvoir l’aider et un jour, il la ramena chez elle. Il lui lit le courrier, une des lettres stipule que si cette dame ne payait pas le loyer de 24$ d’ici la fin de la semaine, ils viendraient prendre ses biens. Charlos se met donc comme mission de lui apporter les 24$ dont elle a de besoin. Pour ce faire, il essaie de gagner un combat de boxe qui échoue pitoyablement. Par la suite, il rencontre un homme riche qui lui donnera 1000$ et avec cet argent donnera à la femme ce qu’elle a de besoin pour payer le loyer et retrouver le vue.

Critique :


J’ai très bien aimé le film Les lumières de la ville, même si ce film est muet, j’ai trouvé que le jeu d’acteur de Charlie Chaplin stimulant et drôle ce qui m’a permis de rester accrocher durant tout le film. Le film ne tournait pas en rond, il y avait plusieurs péripéties alors les auditeurs n’ont pas le temps de trouver le film long. De plus, le film a été fait avec humour, alors même durant les parties triste, sois le scénario ou sois le jeu d’acteur parviens toujours à nous rendre le sourire. 

Monday, December 9, 2013

The Beach

Critique:


J’ai apprécié le film The Beach parce que le film est divertissant et touche à toutes les sortes genres qu’il peut y avoir. Par exemple, il y a une histoire d’amour, de rupture et de jalousie (triangle amoureux) entre Richard et le couple d’amis qu’il a invité avec lui. Il y a de l’action lors de batailles entre Richard ses amis de la ville, du suspense lorsqu’il nage pour aller vers l’île et lorsqu’il se bat avec le requin. Il y a un peu d’horreur quand il y a une attaque de requin sur plusieurs personnes. Il y a même un peu de bande dessinée pour démontrer le délire, ce que j’ai beaucoup apprécié, j’ai trouvé cet aspect intelligent. En outre, ce film je le réécouterais n’importe quand. 

                                                         The Beach


Synopsis :


The Beach est l’histoire de Richard (joué par Léonardo DiCaprio) qui rencontre un homme qui lui donne une carte qui mène à une île paradisiaque. Richard propose donc à son couple de voisin de l’accompagner. En route, Richard rencontre deux autres de ses voisins qui lui parle de cette mystérieuse île alors il leur donne une copie de la carte. Le couple d’amis organise le voyage à la perfection. Lorsqu’ils sont rendus sur l’île, ils découvrent un énorme champ de cannabis, mais ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seul sur l’île. Après avoir échappé les Taïwanais  de justesse ils se rendent là où la petite population habite, sur une plage aux lueurs paradisiaque. Ils s’installent donc avec ceux-ci et essayent de cohabiter ensemble. Quelques mois après, les deux amis dont Richard leur a donné une copie de la carte, essayent d’aller sur l’île et la directrice du peuple n’a pas l’intention de les laisser entrer sur l’île, car les Taïwanais leur ont spécifiquement dit qu’ils ne voulaient voir personne d’autre sur leur île. Elle a donc demandé à Richard de leur faire peur pour plus qu’ils ne reviennent et de prendre la carte ensuite pour ne pas qu’ils la montrent à d’autres. Richard réussit à les faire partir, mais puisqu’il a « trahit » la population, ils ont convenu qu’il faut que Richard meurt.

Saturday, November 9, 2013


Peur(s) du noir :



Réalisateurs :      Blutch
             Charles Burns
             Marie Cailloux
             Pierre Di Sciullo
             Lorenzo Mattotti
             Richard McGuire

Date de sortie :            2007










Résumé :

Peur(s) du noir est un film qui comporte plusieurs histoires qui a pour thème l’horreur. Le résumé de la première est l’histoire d’un jeune garçon qui trouve un insecte dans la forêt et qui l’emporte avec lui jusque dans sa chambre, mais l’égard durant la nuit. Quelques années plus tard, Il emmène une fille chez lui et elle se fait mordre. Après plusieurs semaines la fille change de caractère et il découvre que la morsure était un endroit où les bébés insectes se réfugiaient avant d’éclorent. Alors le jeune garçon devenu adulte était prisonnier de l’insecte qui possédait la fille et il est couvert de morsure pour que la maman insecte puisse avoir des petits.



Critique :

J’ai particulièrement aimé le film peur(s) du noir, car le fait d’avoir plusieurs petits récits qui fait le film en tant que tel nous mets en suspense durant tout le long du film. Les histoires n’étaient pas raccorder l’un après l’autre alors au début c’était difficile de suivre le courant de ce qui se passait, car on ne connaissait pas les personnages et il n’y avait pas continuité aux histoires. Il y avait le début de la première histoire après on sautait à la deuxième et on revenait à la première. Pour cette partie, je n’ai pas particulièrement apprécié, mais lorsqu’on comprend comment le film est fait, l’intrigue de savoir comment les cinq histoires se termine est intolérable.




American Splendor :


Réalisateurs :       Shari Springer Berman,
                      Robert Pulcini      
       
Date de sortie :      2003








Résumé :

American Splendor est un film dans un film. En premier lieu, c’est un documentaire sur l’original Hervey Peker et pour raconter son histoire, il engage des acteurs pour jouer les personnages dans sa vie. Son cheminement va comme suit : Harvey est un homme qui travaille dans un bureau ayant une passion pour la littérature. Il commence donc à écrire une B.D sur des tanches de sa vie. Étonnement, le recueil fait succès et publie plusieurs volumes. Grâce à son talent d’écrivain, il rencontre une femme et la marie une semaine plus tard. Mais soudain, le docteur lui annonce qu’il a le cancer. Sa femme lui propose d’en faire une B.D, mais celui-ci refuse, donc, sa femme lui en ait un avec l’aide de l’homme qui illustre les B.D d’Harvey. Après avoir fini la B.D, Harvey est guérit et lui et sa femme adopte la fille de l’illustrateur.



Critique :

American Splendor est une biographie tout en étant un film sur Harvey Peker que j’ai beaucoup apprécié. La façon dont ils ont incorporé le vrai Harvey Peker et son entourage dans le film, le parallèle entre les deux mondes a été très bien réalisée. L’histoire m’a beaucoup plus aussi, au lieu d’être un film dramatique et informatif sur la vie d’Harvey et sur sa célébrité pour ses B.D, c’est un film comique tout en nous informant amusement sur sa vie et son cheminement. J’ai aussi beaucoup apprécié le fait qu’il y aille des bulles avec des onomatopées lorsqu’un bruit survenait, cela donnait l’impression que nous lisions dans la bande dessiné qu’il avait écrite et que nous en faisions partit.



Persepolis :


Réalisateur :      Vincent Paronnaud, 
                    Marjane Satrapi

Date de sortie :    2007










Résumé :

Persepolis est l’histoire d’une jeune fille nommé Marjane qui habite en Iran et qui miraculeusement, survit à la guerre. Lors de son adolescence, elle se rebelle contre les autorités en écoutant de la musique punk et en s’habillant autrement en ne mettant pas son voile. Peu de temps après, ses parents croient qu’elle n’a pas sa place en Iran alors il l’envoie en Europe pour commencer sa vie d’adulte. À Vienne, elle passa d’un appartement à l’autre et un jour tomba amoureuse. Elle se fait tromper par son copain et se retrouve dans la rue. Après deux mois, elle retourne chez elle et essaye de retrouver sa vie d’avant en se mariant, mais après quelque temps elle divorce. Pour se changer les idées, elle va en vacance avec sa grand-mère et lors de son retour elle repart pour l’Europe refaire sa vie entière.



Critique :


Persepolis est un film qui m’a beaucoup plus, car ça nous permet d’en apprendre davantage sur la vie politique en Iran, comment les guerres se sont déroulées et les conséquences de celles-ci. Nous avons aussi une meilleure vision sur la pensée des habitants par rapport à cette situation. Même si l’histoire en générale est supposée être dramatique, certains personnages nous mets un sourire aux lèvres. D’un point de vue cinématographique, j’ai apprécié la touche de couleur lorsque Marjane quittait le pays d’Iran, car là-bas tout est en noir et blanc, mais lorsqu’elle quitte l’Iran pour aller en Europe, l’image n’est soudainement plus en noir et blanc, mais en couleur pour signifier la liberté et l’expression.  


Monday, October 21, 2013

Cours Lola Cours

Cours Lola Cours: (Lola rennt)



Résumé :

Une jeune fille aux cheveux rouges qui se nomme Lola reçoit un appel de Manny, son copain. Il lui annonce qu’il a perdu un sac contenant 100 000 Marks qu’il était supposé donner à son employeur (un trafiquant) et s’il n’obtient pas l’argent dans 20 minutes il se fera tuer. Lola part donc aider Manny pour trouver 100 000 Marks en 20 minutes. Elle court jusqu’au lieu de travail de son père, lui demande l’argent, mais il refuse. À cours de solutions, elle va rejoindre Manny pile à l’heure pour cambrioler une épicerie. Ils se sauvent avec l’argent, mais les policiers réussissent à tirer sur Lola. À partir de ce moment, Lola retourne dans le temps inconsciemment et change le déroulement de l’histoire en étant plus avancer dans le temps de quelques secondes ou plus reculé de quelques secondes.

Critique :

Le film cours Lola cours est un divertissement pour le voyeur, car on se pose toujours la question : « Mais que se passera-t-il? » Même si l’histoire en générale se répète 3 fois, les 3 fois sont différentes, car certaines actions et certains détails anodins sont accentués. Depuis que j’ai visionné ce film, je me questionne quotidiennement sur le temps. Par exemple, « si j’avais réagis 5 secondes plus tard, est-ce que j’aurais réagis de la même façon ou même, est-ce que la situation finale aurait été pareil? » De plus, les personnages sont toujours dynamiques. On voit Lola courir presque la moitié du film, eh bien l’effet de montage et les plans de caméra font en sorte qu’on ne s’épuise pas à la regarder courir.





Les prises de vue en fonction du montage :

-     -    La continuité dans la direction : (13 :20)



-   
 -     La loi de l’écart minimal entre deux plans successifs : (28 :50)






-     -    L’insert: (9:30)



-     -    La coupure franche:  (17:58 – 18:16 – 19:14)





-    -     La surimpression: (25 :59)



-     -   Le changement de format de plans: (10 :44 – 10 :46 – 10 :47)





-    -     Le fondu : (30 :46)













Friday, October 18, 2013

Exemples de back lights

Exemples de back light :

Magasine/Publicité



















"Behind the scene"








Le film Schindler's list


Thursday, October 17, 2013

Night Shyamalan

NIGHT SHYAMALAN :


Scénariste, réalisateur et producteur

Il a réalisé les films :

-       -  After Earth (Après la Terre) 2013

-       -  The Last Airbender (Le Dernier Maître de l’air) 2010

-       -  The Happening (Phénomènes) 2008

-        - Lady in the Water (La jeune fille de l’eau) 2006

-        - The Village (Le village) 2004

-        - Signs (Signes) 2002

-                                                                                                                                                                                - Unbreakable (Incassable) 2000

-                                                                                                                                                                                - The Sixth Sense (Le Sixième Sense) 1999

-                                                                                                                                                                                - Wide Awake (Éveil à la vie) 1998

-                                                                                                                                                                               -  Praying with Anger 1992




Le Sixième Sens


Synopsis:

Dr. Malcom Crowe est un psychologue spécialisé avec les enfants. Un soir, le docteur et sa femme fêtent la réussite de celui-ci quand un des anciens patient de Malcom entre dans la maison, accuse le docteur de ne pas l’avoir guérit, lui tire dessus et se suicide par la suite.
L’automne prochain, Malcom rencontre un enfant nommé Cole qui a des problèmes similaires à son père (le patient qui s’est suicidé). En essayant de l’aider, Malcom s’aperçoit que Cole est un médium, il peut voir des fantômes, mais ceux-ci ne savent pas qu’ils sont morts. Pris par son travail, le docteur s’aperçoit qu’il n’a plus de communication avec sa femme, ils ne se parlent plus comme avant et essaye de régler le problème tout en aidant le jeune garçon. Un jour, Malcom découvre pourquoi il n’a plus la même communication avec sa femme et pourquoi qu’il est le seul à pouvoir aider Cole. La nuit où le patient est entré en infraction dans la maison,                                                                        Malcom a réalisé qu’il n’avait pas survécu et qu’il était un                                                                      fantôme tout ce temps.

Critique : 



J’ai beaucoup aimé ce film, surtout car la fin est inattendue. En même temps, cela nous fais réfléchir sur si les fantômes existent vraiment. Même si le sixième sens peut paraître comme un film psychologique, il y a aussi du suspense et un peu d’horreur. Par exemple, Cole se réveille durant la nuit pour aller à la toilette et un garçon un peu plus vieux que lui l’invite à venir jouer à un jeu avec son père dans le salon et quand il se retourne, la moitié de son crâne est parti. C’est un film où l’ennuie n’est pas au rendez-vous, on veut toujours en savoir plus, que se passera-t-il? Pourquoi commet-il se geste? Mais ne vous inquiétez pas, toutes les réponses aux questions posées durant le film ce répond à la fin.













Night Shyamalan qui joue le rôle d'un medecin :






Language Cinéma:

Effect de portail: 


Plan demi-ensemble: 


Plan en contre-plongé: